 Malgré la fermeture de  nombreuses usines et de nombreuses suppressions d’emplois, à Romans en  Rhône-Alpes on continue à fabriquer de la chaussure de qualité et son musée international de la chaussure se porte bien ! Dans les  rues médiévales du vieux Romans, les chausseurs occupent toujours une boutique  sur deux. Malgré la concurrence des pays asiatiques dans ce secteur, la ville de Romans tire son épingle du jeu grâce à la qualité de ses produits.
Malgré la fermeture de  nombreuses usines et de nombreuses suppressions d’emplois, à Romans en  Rhône-Alpes on continue à fabriquer de la chaussure de qualité et son musée international de la chaussure se porte bien ! Dans les  rues médiévales du vieux Romans, les chausseurs occupent toujours une boutique  sur deux. Malgré la concurrence des pays asiatiques dans ce secteur, la ville de Romans tire son épingle du jeu grâce à la qualité de ses produits. Il n’y a pas si longtemps encore les fabricants de chaussures faisaient vivre plus de  4000 personnes. Aujourd’hui, le chiffre est à   diviser par dix, et le taux du chômage dépasse les 15 %. Les ouvriers de  la chaussure ont souvent plus de 40 ans et ont beaucoup de mal à se réinsérer.  Les cellules de reclassement mises en place après les nombreux licenciements,  peinent à reclasser les ouvriers pourtant fortement qualifiés. Dans ces régions  sinistrées, les produits venant de Chine et du Maghreb ont sonné le glas de la  production française de la chaussure.
Il n’y a pas si longtemps encore les fabricants de chaussures faisaient vivre plus de  4000 personnes. Aujourd’hui, le chiffre est à   diviser par dix, et le taux du chômage dépasse les 15 %. Les ouvriers de  la chaussure ont souvent plus de 40 ans et ont beaucoup de mal à se réinsérer.  Les cellules de reclassement mises en place après les nombreux licenciements,  peinent à reclasser les ouvriers pourtant fortement qualifiés. Dans ces régions  sinistrées, les produits venant de Chine et du Maghreb ont sonné le glas de la  production française de la chaussure.
 A Romans, on  fabrique des chaussures depuis 1850. A l’heure actuelle les seuls  fabricants qui survivent sont ceux qui fabriquent de la chaussure de luxe. Le  savoir-faire des ouvriers de la région de Romans est reconnu à l’international.  La chaussure de luxe se vend encore fort bien. Il faut également renouveler  constamment ses collections, afin que le choix proposé soit toujours dans l’air  du temps. Tout récemment, deux  créateurs ont lancé leur ligne l’an dernier, Yann Tena et Sébastien Cattot, se  sont installés avenue des Allobroges à Romans, et vendent leurs modèles sous la  marque « Yann Bastien production ». Les artisans chausseurs de Romans  ont bien compris que pour survivre, il leur fallait investir les marchés peu  porteurs, avec des productions  artisanales  qui ne peuvent se faire mécaniquement. La création vole au secours de la  chaussure à Romans. La réputation des artisans de la ville n’est plus à faire,  et les petites collections de chaussure de luxe se vendent aussi bien au niveau  national qu’à l’international.
A Romans, on  fabrique des chaussures depuis 1850. A l’heure actuelle les seuls  fabricants qui survivent sont ceux qui fabriquent de la chaussure de luxe. Le  savoir-faire des ouvriers de la région de Romans est reconnu à l’international.  La chaussure de luxe se vend encore fort bien. Il faut également renouveler  constamment ses collections, afin que le choix proposé soit toujours dans l’air  du temps. Tout récemment, deux  créateurs ont lancé leur ligne l’an dernier, Yann Tena et Sébastien Cattot, se  sont installés avenue des Allobroges à Romans, et vendent leurs modèles sous la  marque « Yann Bastien production ». Les artisans chausseurs de Romans  ont bien compris que pour survivre, il leur fallait investir les marchés peu  porteurs, avec des productions  artisanales  qui ne peuvent se faire mécaniquement. La création vole au secours de la  chaussure à Romans. La réputation des artisans de la ville n’est plus à faire,  et les petites collections de chaussure de luxe se vendent aussi bien au niveau  national qu’à l’international.
Les pays émergeants comme la Chine et à un niveau moindre, l’Inde inondent la planète de chaussures standardisées et fabriquées à la chaîne. L’espoir des artisans de Romans, comme en Italie, autre pays de la chaussure est la diversité et la qualité incomparable de leurs produits grâce au savoir-faire de leurs artisans.
 La ville de Romans organise en Octobre 2007, le grand  concours européen de la chaussure. Des jeunes créateurs qui se destinent au  métier de la mode, devront créer une ébauche de chaussure, sur le thème « Bottes,  boots, bottines & Co ». Les 20 premiers dessins seront récompensés et  se verront exposés à Paris, au salon de la chaussure Midec 2007. Pour ceux  qui douteraient encore que Romans est la ville de la chaussure, une visite au  musée international qui lui est consacré s’impose. Actuellement et jusqu’au 3  juin 2007, le musée international de la chaussure rend hommage à Pierre  Yantorny, un bottier très réputé du début du XXème siècle.
La ville de Romans organise en Octobre 2007, le grand  concours européen de la chaussure. Des jeunes créateurs qui se destinent au  métier de la mode, devront créer une ébauche de chaussure, sur le thème « Bottes,  boots, bottines & Co ». Les 20 premiers dessins seront récompensés et  se verront exposés à Paris, au salon de la chaussure Midec 2007. Pour ceux  qui douteraient encore que Romans est la ville de la chaussure, une visite au  musée international qui lui est consacré s’impose. Actuellement et jusqu’au 3  juin 2007, le musée international de la chaussure rend hommage à Pierre  Yantorny, un bottier très réputé du début du XXème siècle.
Pour de plus amples informations sur la ville et l’histoire de la chaussure rendez-vous sur www.ville-romans.com
Commentaires
Bonjour, juste pour vous informer que je viens de découvrir qu'un jeune créateur viens de lancer une collection de chaussures de luxe fabriqués à Romans sur Isère. Découvrez ses créations sur son site vincentbottesi.com